Coucou,
Mon site, comme vous pouvez le voir, est en pleine restructuration !
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Ma dernière sauvegarde étant du mois de septembre, je remets à jour les derniers articles, mais rien n’est perdu...
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PatCatNat’s
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Site personnel de Patrice MOREL.

Estuaire 2007
Un canard dans un coin-coin !
Toujours dans l’esprit : "la culture çà peut être aussi de la partager pour tous"...
Article mis en ligne le 7 juillet 2007
dernière modification le 26 mars 2023

par Patrice MOREL

Après l’éléphant (...du PS...) de Nantes, je suis passé au Canard* de St. Nazaire...
Seulement voila que c’est en pleine époque de Grippe aviaire, alors pour illustrer mon reportage photos je vous propose d’étudier la transmission chez l’animal !!! (source du texte)

Transmission

Espèces concernées
L’influenza aviaire peut toucher de nombreuses espèces d’oiseaux, sauvages ou domestiques. Les oiseaux sauvages aquatiques - notamment les canards sauvages

- constituent le réservoir naturel des virus influenza. Ces oiseaux sont aussi les plus résistants à l’infection. Parmi les volailles domestiques, les poulets et dindes sont les plus sensibles à la maladie rapidement mortelle dans les cas de virus hautement pathogène.

Le virus Influenza aviaire peut éventuellement infecter d’autres espèces animales ; dans des circonstances exceptionnelles : les félidés (tigre, panthère, chat), les mustélidés (vison, furets, fouine) et les porcs.

On parle d’épizootie lorsque la maladie affecte brutalement un grand nombre d’animaux à la fois dans une région donnée.

Modes de contamination
La contamination entre oiseaux se fait essentiellement par contact direct (secrétions respiratoires et matières fécales)

, mais elle peut être aussi indirecte par l’intermédiaire d’aliments ou d’eau pour oiseaux, qui auraient pu être accidentellement contaminés par des fientes d’oiseaux sauvages porteurs du virus, ou encore par divers matériels contaminés (vêtements, chaussures, véhicules de transport, cages, cartons, paille, ...). La voie d’entrée du virus dans l’organisme de l’oiseau est la voie digestive et aussi la voie respiratoire. Les espaces confinés favorisent la transmission du virus.

Le contact potentiel des oiseaux captifs avec des oiseaux sauvages contaminés constitue un risque non négligeable de transmission. Il justifie une vigilance certaine vis-à-vis :
 des appelants (des oiseaux vivants utilisés par les chasseurs pour attirer le gibier d’eau),


 des animaux d’élevage, surtout si ces élevages permettent des contacts (directs ou indirects) avec les oiseaux sauvages,
 du commerce du gibier.